«Claire était attachée face contre terre au lit, un gros bâillon rouge dans la bouche et des cordes grossières liant ses poignets et ses chevilles aux montants du lit, la maintenant en place. Elle haletait lourdement, nerveuse, ses petits seins se soulevaient. Elle avait trouvé cet endroit en ligne dans l'un des salons de discussion sombres où personne n'utilisait son vrai nom.
Elle avait parcouru trois ruelles et était entrée dans un endroit miteux, où il y avait des portes épaisses et des bruits de plaisir qui en sortaient. Des filles hurlant d'extase, de la chair claquant contre de la chair, des hommes gémissant. Elle avait signé quelques formulaires et donné son consentement, puis avait enfilé une paire de longs bas noirs, des hauts talons noirs, un col noir, et s'était laissée attacher à ce petit lit dégoûtant.
Elle se demanda combien de temps cela durerait, et quand la porte s'ouvrit, elle sentit son cœur battre encore plus vite. Elle ne pouvait pas voir les hommes entrer dans la pièce mais elle pouvait les entendre. Elle sentit leurs mains caresser son corps et commença à baisser sa fine culotte noire pour exposer sa chatte rose serrée.
Elle sentit leurs doigts la sonder et ses mains s'abaisser instinctivement. Les cordes étaient trop solides et elle ne pouvait pas bouger pendant qu'on jouait avec elle, peu importe à quelle vitesse ou à quelle profondeur elles allaient. Elle sentit le lit trembler alors qu'un homme grimpait dessus, et elle commença à respirer fortement alors qu'il plaçait ses mains à côté de sa tête et quelque chose, quelque chose poussa contre sa chatte.
Sans avertissement, il s'enfonça et elle haleta de plaisir autour de son bâillon. La bite épaisse était si profondément en elle qu'elle pensait qu'elle crierait ! Elle a essayé de contrôler ses gémissements alors que l'homme l'utilisait comme une poupée sexuelle, la martelant et saisissant ses cheveux comme levier. Elle le sentit accélérer, le sentit atteindre son apogée, et elle gémit quand il vint en elle.
Il haletait lourdement, et Claire aussi, mais pour elle, ce n'était même pas presque fini. L'homme est descendu du lit et un autre est monté ensuite, enfonçant sa bite profondément en elle.
Pendant des heures, elle s'est sentie baisée par différents hommes, utilisée comme un mouchoir pour attraper leur foutre. Elle est venue encore et encore, criant dans son bâillon, aimant la sensation des bites qui la labouraient. À la fin de la journée, lorsque l'homme est venu la détacher, elle pouvait à peine bouger ses jambes. Elle dégoulinait de sa chatte, le sperme tachant les rues.
Les cordes avaient laissé des marques rouges autour de ses poignets et de ses chevilles. Pourtant, elle savait qu'elle reviendrait demain. Alors qu'elle quittait la pièce, elle vit d'autres femmes quitter les pièces voisines, des sourires collés sur leurs visages. Ils marchaient les jambes arquées et leurs hauts talons vacillaient sur le sol.
Claire était l'une d'entre elles maintenant.